mercredi 30 septembre 2015

L’entrevue entre le Président de la République Hery Rajaonarimampianina et l’ambassadeur de l’Ile Maurice a porté ses fruits.


A l’issu de l’entrevue entre le Chef de l’Etat Hery Rajaonarimampianina et Son excellence monsieur l’ambassadeur de l’Ile Maurice à Madagascar Goburdun Datakarran, les Zones économiques spéciales ou ZES ont été mises en place. Un décret a déjà été publié dans le cadre de l’application de ce grand projet. Pour faire suite à la discussion du projet entre le diplomate et le Chef de l’Etat, l’ambassadeur a rencontré récemment le chef du gouvernement, Jean Ravelonarivo. Selon les explications du Premier ministre malgache après cette rencontre avec le diplomate mauricien, le projet ZES a une envergure régionale et il consiste à faire de Madagascar le grenier de l’Océan Indien. Les ZES sont en quelque sorte une zone régie par une franchise et sa zone d’application est très vaste  atteignant les dizaines voire même les centaines d’hectares. Les acteurs de ce projet  pourront alors avoir en plus à leur disposition des terrains de grande superficie et surtout bénéficier de nombreux avantages fiscaux. Selon encore le locataire du palais de Mahazoarivo, les ZES peuvent abriter des activités multiples comparés aux zones franches telles que nous les connaissons habituellement.
« Des efforts seront également entrepris pour faire en sorte que les ZES soient implantées à proximité d’un port. Ces zones sont également équipées d’infrastructures qui vont accompagner le développement des entreprises », a précisé Jean Ravelonarivo afin d’optimiser l’efficacité des ZES dans l’amélioration du niveau économique du pays.
« Nous avons discuté de la manière de collaborer ensemble à travers les Zones économiques spéciales et de la manière de concrétiser la mise en place de partenariats. Maurice est prête à apporter son soutien à ce projet », a déclaré l’ambassadeur de Maurice à Madagascar, SEM Goburdun Datakarran. Ce qui confirme la volonté de ce pays à vouloir renforcer les liens avec le régime de Hery Rajaonarimampianina.

La République de Madagascar a eu un aide de la part de la BAD.


Grâce aux efforts constants et acharnés du régime de Hery Rajaonarimampianina, la Banque africaine de développement a octroyé une somme colossale de 10,95 millions de dollars. L’Etat malagasy a bénéficié de cette somme afin de soutenir les activités de promotion des investissements dans la Grande Ile. Plus précisément, c’est le Projet  d’Appui à la Promotion des Investissements ou le PAPI qui a fait l’objet de cet aide. La signature de cet accord a eu lieu au sein du ministère Finances et du Budget à Antaninarenina le 28 septembre dernier.
Le Président de la République Hery Rajaonarimampianina a promis de créer de l’emploi. La création d’emplois fait d’ailleurs partie de son programme. C’est dans cet objectif que le PAPI a été mis sur pied. Ce projet durera un peu plus de quarante semaines à partir de maintenant et selon le représentant-résident de la BAD à Madagascar, Monsieur Abdelkerim Bendjebbour, « à la fin du projet PAPI en 2019, l’augmentation du nombre de nouveaux emplois créés dans l’industrie du textile est attendu ». Ce programme va donc faire baisser à coup sûr le taux de chômage dans le pays, un taux qui a vraiment augmenté au cours de la crise de 2009-2014, une crise qui a considérablement marqué l’économie malgache. Le 3P sera mis à l’honneur avec ce programme car selon Gervais François Rakotoarimanana, le ministre des Finances et du budget « le PAPI vise l’opérationnalisation du cadre partenaire public-privé ».
Dans le cadre du développement et de la création d’emplois encore, la BAD a annoncé que le conseil de cette entité a donné son aval afin de valider un prêt d’une valeur de 96 milliards d’Ariary pour le l’Etat malagasy. Ce prêt a pour but  d’aider et de financer des projets en faveur des jeunes entreprises rurales.

Ces accords confirment la confiance de cette banque à l’égard du régime de Hery Rajaonarimampianina. Les autres institutions internationales à l’instar du FMI ont aussi réaffirmé leur loyauté envers la République de Madagascar.

ASTF : Renforcer les contrôles des menaces pour la sécurité sanitaire des aliments, les ravageurs et les maladies des plantes et des animaux en vue de l’accroissement de la productivité et du commerce en Afrique Australe.


Dans le cadre du projet ASTF(Africa Solidarity Trust Found), un atelier pour la mise en place du Comité Technique National en charge du projet s’est tenue le 25 septembre 2015 au bureau de la Représentation de la FAO a Antananarivo.Ce Comité Technique National du Projet est établi dans chaque pays participants dont Madagascar, Angola Botswana, Mozambique, Namibie, Zambie Zimbabwe. Il est constitué de spécialistes issus des institutions et secteurs concernés : la Santé et Protections des Végétaux couvert par le DPV du MINAGRI, la Santé Animale, Sécurité Sanitaire des Aliments, Foret, Pêche et Aquaculture. Ce comité forme la plateforme des différents secteurs d’ où la mise en œuvre des initiatives se fera et prendra également l’initiative d’effectuer les études de références et de mettre en œuvre les initiatives pour combler le gap et de militer contre les contraintes qui sont identifiées dans les études références. A cette occasion les principales réalisations ont été exposées entre autre la formation des formateurs sur la sante des végétaux, la sante des forets et la formation des points focaux Pêche sur EUS et les bivalves.
Ce financement d’une valeur de 4 000 000 millions  de dollars US a été lancé officiellement le 27 février à Madagascar. Il a pour objectif de renforcer les contrôles des menaces pour la sécurité sanitaire des aliments, les ravageurs et les maladies des plantes et des animaux en vue de l’accroissement de la productivité et du commerce en Afrique Australe

mardi 29 septembre 2015

Madagascar produit officiellement du pétrole.


En juin dernier, Madagascar Oil a officiellement donné le coup d’envoi de la mise sur le marché du pétrole « vita malagasy ». C’est notamment le marché local qui sera inondé par cette vente. Madagascar est donc officiellement un producteur de pétrole lourd. Cette huile lourde provient du site d’exploitation de Tsimiroro dans l’ouest de la Grande Ile. Le Président de la République Hery Rajaonarimampianina a été invité à cette grande cérémonie de lancement le mercredi 18 juin dernier. La réserve du gisement de Tsimiroro est estimée à 1,7 milliard de barils de pétrole lourd, une quantité astronomique qui mérite toute l’attention des investisseurs étrangers. « Il y a pas mal de compagnies qui ont voulu investir à Madagascar, mais qui ont hésité entre-temps. Donc, maintenant le moment est venu d’attirer les compagnies et de leur dire qu’à Madagascar, on a du pétrole actuellement » a déclaré Joeli Lalaharisaina, le ministre chargé des Ressources stratégiques.
Cette grande avancée dans le domaine de l’exploitation minier doit servir en partie à développer le pays, à servir de levier pour l’économie malagasy mais surtout à améliorer la vie du peuple malagasy. C’est d’ailleurs une des priorités du régime de Hery Rajaonarimampianina car la République a toujours prôné une politique basée sur le principe du « gagnant-gagnant » entre les investisseurs et la population.

« Le gisement de Tsimiroro peut être rentable, si l’on prend en compte notre production, le prix du pétrole et le prix de la production » a déclaré le directeur général de Madagascar Oil, Stewart Ahmed. C’est donc une affaire qui marche et qui devrait fortement contribuer au développement local, voire même de la Nation toute entière. Le Président de la République Hery Rajaonarimampianina a réitéré sa volonté de toujours rechercher la meilleure solution pour redresser le pays à travers les entrevue avec les bailleurs de fond, les investisseurs et par le biais des accords bilatéraux. Avec ses prochains déplacements, en l’occurrence, son voyage pour les Etats-Unis pour la 70ème Assemblée générale de l’ONU, le Chef de l’Etat va assurément bien défendre Madagascar pour ainsi promouvoir la mise en valeur ces richesses pétrolières de la Grande Ile.

lundi 28 septembre 2015

Le Régime de Rajaonarimampianina fait des richesses minières du pays un levier pour le développement.


Le pétrole et les produits miniers peuvent générer des devises considérables pour Madagascar. Avec le début de l’exploitation du pétrole sur le territoire malagasy, la Grande île peut espérer une amélioration considérable au niveau économique. Le Salon International des Mines et du Pétrole montre au monde entier que Madagascar a du potentiel au niveau des exploitations minières et il a aussi du pétrole dans ses sous-sols. « Ce salon est une preuve de détermination à accompagner le Gouvernement dans la réalisation de la politique générale de l’Etat et vers le développement économique du pays ». Ce sont les mots du Président de la République Hery Rajaonarimampianina lors de son discours à l’occasion de l’ouverture de ce Salon au CCI Ivato. Le Ministère de l’Energie, des Mines et des Hydrocarbures, l’Omnis et plusieurs entreprises partenaires à l’instar du PGS, de l’Energy Exchange, de Madagascar Oil ont été présentes lors de ce salon.
La République de Madagascar vise sans arrêt au développement durable du pays. C’est d’ailleurs ce que le ministre des Mines et du Pétrole, Lalaharisaina Joëli Valérien a confirmé en déclarant que « Ce salon reflète la politique de son département visant à promouvoir les ressources minières et pétrolières, un secteur qui est le principal levier de départ de l’économie nationale avec une nouvelle stratégie rationnelle qui veille aux attentes de la population. Dans les années à venir, Madagascar verra une progression effective avec des retombées socio-économiques plus substantielles ».
« Bonne gouvernance, la transparence et la recevabilité » ne sont pas de vains mots pour le Président de la République. En effet, Hery Rajaonarimampianina a explique que cette marche vers l’exploitation du sous-sol vise premièrement à faire profiter la population malagasy de ces activités minières et aussi pour développer le pays dans le cadre d’un échange équitable avec les opérateurs.

Hery Rajaonarimampianina en quête d’une stratégie efficace pour redresser le pays.


Le Président de la République Hery Rajaonarimampianina se bat bec et ongles pour trouver des financements. Les entrevues avec les opérateurs et les ambassadeurs sont les preuves tangibles de cet acharnement du Chef de l’Etat dans cette marche vers le développement durable de la Grande île. Le 22 septembre dernier, le Numéro un de la Nation exposé aux nombreux opérateurs et ambassadeurs qui travaillent à Madagascar la conjoncture politique et économique qui règnent dans le pays. Instaurer une stabilité politique est une priorité, c’est la base même de toute avancée économique. C’est dans cette vision que le Chef de l’Etat a parlé de concertation entre la République malagasy, les ambassadeurs et les partenaires techniques et financiers. D’ailleurs, le Président a affirmé que cette concertation avec ces diverses entités avancent dans le bon sens actuellement. De grands évènements sont attendus très prochainement pour booster l’économie du pays. Le premier est la conférence de Lima qui aura lieu le mois d’Octobre prochain, et le second est la conférence de Paris qui se déroulera l’an prochain, plus précisément au mois d’Avril 2016. Ces évènements concernent notamment la coopération entre les partenaires techniques et financiers et l’Etat malagasy. Les membres de la mission de la SACD et du FMI ont participé à cette réunion organisée par la République de Madagascar. L’exposition d’une évaluation de la situation économique et politique comme celle-ci pourrait contribuer au déblocage des aides étrangers, c’est le cas du FMI qui fait des enquêtes au préalable avant d’accepter ou non les coopérations avec les pays comme Madagascar. En effet, le programme de Facilité de Crédit Rapide (FCR) d’un montant de 47,4 millions de dollars est sur le point d’être débloqué par le Fond Monétaire International  mais les dossiers récoltés par l’équipe du FMI qui est passé sur le territoire malagasy devront encore être validés par la direction générale de cette entité avant son application. En tout cas, les opérateurs et les investisseurs sont visiblement confiants et souhaitent conforter les coopérations avec le Régime de Hery Rajaonarimampianina.

vendredi 25 septembre 2015

La signature de l’accord Alliance Vanille a été faite.


Le décollage du programme de coopération entre les compagnies aériennes de l’Indianocéanie a eu lieu à Antananarivo le 21 septembre dernier. Cette  alliance économique a été signé par plussieurs compagnies, plus précisément entre  Air Seychelles, Air Austral, Air Mauritius, Int’Air Iles et Air Madagascar. Le Président de la République Hery Rajaonarimampianina s’est félicité de cet évènement mémorable c’est une grande avancée dans l’histoire commune des îles de l’Océan Indien. Cette synergie entre les compagnies aériennes des pays membre de la Commission de l’Océan Indien marque la volonté ce chaque pays à vouloir atteindre ensemble, main dans la main,  un objectif final qui est le développement socio-économique.
Les signataires de cet accord sont animés d’une volonté d’amélioration globale de la compétitivité dans le bassin de l’Océan Indien. Renforcement de l’offre, engagement, développement et accroissement des échanges commerciaux sont les maitres mots des membres de cette alliance.
Le Président de la République de Madagascar, Hery Rajaonarimampianina a clairement annoncé que cet accord « ne nous apportera que des bienfaits, grâce à une avancée dans la connectivité aérienne. » En effet, cette  stratégie de coopération est une défense contre la rude concurrence qui règne dans le monde du tourisme et des compagnies aériennes. Le Che de l’Etat a aussi ajouté que « l’Alliance Vanille est  une formule intelligemment conçue, et techniquement viable pour nos iles, notamment en ce qui concerne le développement du secteur tourisme, et c’est essentiel pour garantir des retombées économiques sur le long terme pour chaque pays ».
Pour Le Secrétaire Général de la COI, Jean-Claude de l’Estrac, cette alliance est « un motif de satisfaction, grâce à l’impulsion donnée par Madagascar qui assure la présidence de la COI. Nos compagnies aériennes sont unies autour d’objectifs communs, image d’une prise de conscience nouvelle par rapport à l’Indianocéanie. »
Le Président de l’Alliance Vanille Marie-Joseph Malé a quant à lui expliqué que « La connectivité est un moteur, un préalable au développement économique endogène des îles du Sud-Ouest de l’Océan Indien. C’est une politique volontariste d’amélioration de la connectivité aérienne. Un outil principal, une coopération autour d’une ambition commune. Dans un contexte de globalisation accrue, l’union s’impose ».

Le Ministre malagasy du tourisme, des transports, et de la météorologie a, pour sa part, parlé de l’efficacité de la combinaison des secteurs du transport aérien et du tourisme qui est basée sur « une synergie franche et sur une politique cohérente entre les îles » concrétisé justement par cette Alliance Vanille.

Le FMI est sur le point d’accorder un prêt à Madagascar


Monsieur Marshall Mills a conduit une équipe des services du FMI à Antananarivo pour la mise en place d’un accord de principe avec l’Etat malagasy sur un programme de réformes qui pourrait être soutenu par la Facilité de Crédit Rapide (FCR)1 du FMI, jumelée avec un Programme de Référence2 de 6 mois. Après cette visite qui s’était déroulé du 9 au 23 septembre 2015, cette équipe du FMI a publié des communiqués de presse pour clôturer sa mission à Madagascar. Ces services ont exprimé et déclaré leurs observations préliminaires au terme d’une mission dans le pays. Cette observation fera encore l’objet d’un examen de la part de la direction du Fond Monétaire International  avant que son application soit validée ou non. Lors de cette mission de reconnaissance l’équipe de Marshall Mills a rencontré des hauts responsables de l’Etat malagasy à l’instar du Président de la République, Hery Rajaonarimampianina, du premier ministre Jean Ravelonarivo, le Ministre des Finances et du Budget Gervais Rakotoarimanana, le Ministre de l’Économie et de la Planification Herilanto Raveloharison, le Gouverneur de la Banque Centrale Alain Rasolofondraibe, le Conseiller Economique du Président Léon Rajaobelina, ainsi que d’autres hauts responsables, des représentants du secteur privé et des partenaires au développement.

« Les Autorités Malgaches et la mission du FMI sont parvenues à un accord de principe sur un ensemble de politiques économiques et structurelles visant à renforcer les progrès accomplis depuis l’approbation de la précédente FCR par le Conseil d’Administration du FMI au mois de Juin 2014. Ces politiques ont pour objectifs de maintenir la stabilité macroéconomique, d’améliorer la soutenabilité budgétaire et de la balance de paiements, ainsi que de renforcer davantage les capacités de l’administration. À moyen terme, le défi clé sera de continuer à assurer une croissance forte, durable, favorable aux plus pauvres pour contribuer à renverser la détérioration des indicateurs de développement » a déclaré Monsieur Marshall Mills pour ce qui a été discuté lors de cette mission.

mercredi 23 septembre 2015

Diplomatie : Madagascar continue de renforcer ses relations avec les autres pays.


Pour la République Malagasy, une bonne relation diplomatique avec les autres nations du monde est une des clés de la réussite pour le développement et le redressement de la Grande Ile. Les nouveaux Ambassadeurs de l’Egypte et de la Suisse auprès de Madagascar ont récemment présenté leurs lettres de créance auprès de la Présidence de la République de Madagascar. En effet, Son excellence monsieur Philippe Brandt et Son excellence monsieur CHERIF Youssef Abbas ont eu successivement des entrevues avec le Président de la République Hery Rajaonarimampianina pour lui présenter leurs lettres de créance au palais présidentiel d’Iavoloha.
« Les relations sont très stables entre la Suisse et Madagascar, elles sont excellentes depuis 54ans, aussi, j’entends poursuivre sur cette voie et m’engager pour qu’elles soient encore plus productives » a affirmé le représentant du pays helvétique lors de la rencontre. Il a réitéré sa confiance envers l’Etat malagasy et désir pérenniser les bonnes relations bilatérales entre la Suite et Madagascar. L’ambassadeur de la Suisse a par ailleurs souhaité que le pays retrouve sa stabilité politique. Pour conclure, le diplomate suisse a promis une coopération encore plus fructueuse avec les malagasy. « Nous nous sommes entendus sur quelques coopérations possibles, y compris naturellement les possibilités d’investissement » a-t-il confirmé lors de l’entrevue.
« Je suis très heureux d’être nommé ici, à Madagascar. L’Egypte et Madagascar ont des relations depuis une quarantaine d’années, et nous sommes 2 pays membres de la COMESA, donc nos relations commerciales et bilatérales sont toujours consolidées.» Ce sont les premiers mots du représenté de l’Egypte à Madagascar. Son excellence monsieur CHERIF Youssef Abbas a aussi parlé d’une prochaine coopération entre son pays et le notre, tout aussi prometteuse que celles proposées par les autres nations alliées de Madagascar. Le diplomate égyptien a aussi promis d’aider la Grande Ile pour faire réussir le Sommet de la COMESA et de la Francophonie.

L’Egypte sollicite particulièrement une bonne relation diplomatique entre les pays. « Le Président Hery Rajaonarimampianina est toujours invité en Egypte. Notre Président l’attend toujours en toute fraternité chaleureuse » a expliqué l’ambassadeur d’Egypte nouvellement nommé.

Corruption : Le Président lance une lutte sans merci.


La République de Madagascar a mis sur pied une stratégie pour lutter contre la corruption. « C’est une stratégie qui a toute mon adhésion et qui va bénéficier de l’appui et du soutien de l’Etat dans sa mise en œuvre » a déclaré le Président de la République Hery Rajaonarimampianina à l’occasion du lancement de la stratégie nationale de lutte contre la corruption au Palais d’Iavoloha le  21 septembre dernier. Le Premier ministre Jean Ravelonarivo accompagné des membres du Gouvernement, des Partenaires techniques et Financiers et de hauts responsables civils et militaire ont été présents à ce lancement. Le Président Rajaonarimampianina a déclaré qu’il est inacceptable que les pratiques de dilapidation des ressources publiques et nationales perdurent. La lutte contre la corruption doit donc être intensifiée car de telles pratiques sont nuisibles à l’économie. Le Chef de l’Etat a également ajouté qu’il faut œuvrer pour un environnement favorable à la répression de la corruption. Transparence, redevabilité et intégrité dans l’exercice d’un mandat public et électif sont des qualités essentielles pour l’atteinte des objectifs de développement et le redressement de Madagascar.
Le Directeur Général de Bianco a présenté avec le Président de la République ce grand programme de lutte contre la corruption en se fixant un deadline. « A l’horizon 2025, Madagascar est un Etat de Droit où le développement économique, social et environnemental est libéré de la corruption » a-t-il déclaré lors de son discours de présentation de ce programme. Pour mener à bien un combat acharné contre ce fléau, trois points seront mis en exergue :
-          Le renforcement de l’Etat de Droit de manière à disposer d’un Etat capable de répondre aux aspirations de Justice des citoyens ;
-          La création des conditions d’émergence d’un développement économique,
-          La promotion de l’émergence d’un leadership national fort exprimant la volonté politique.

Pour montrer l’exemple, le Président de la République a lui-même signé un document d’engagement à titre personnel. 

mardi 22 septembre 2015

Maevatanana est désormais approvisionnée en eau potable.


Maevatanana est dotée de tout un système de captage et de traitement d’eau destiné à desservir cette ville en eau potable. En effet, un barrage a été mis en place en amont du cours d’eau du nom de Nandronjia par rapport à la ville de Maevatanana. Ce barrage sert de réservoir en eau brute qui sera par la suite traitée dans l’usine de traitement d’eau d’Androfiamadinika. Désormais, la population de la ville dispose donc d’une eau de qualité et d’une quantité plus que suffisante. L’Etat a réussi à trouver un financement auprès des bailleurs pour sponsoriser ce projet. « Les bailleurs de fonds comme la BAD, ont confiance en nous, c’est pourquoi, nous pouvons réaliser des infrastructures de base comme cette alimentation en eau potable à Maevatanana, et beaucoup d’autres sont en cours. Ce sont des défis que nous allons réaliser sur tout le territoire » a déclaré le Président de la République Hery Rajaonarimampianina de l’inauguration de ces infrastructures le 17 septembre dernier.
Trois milliards d’ariary ont été nécessaires pour la construction et du barrage et du système de traitement et distribution de l’eau potable. C’est le ministère de l’Eau et de l’Assainissement qui s’était chargé de la réalisation de ce grand projet dans le cadre du programme PAEAR pour la réalisation de l’Alimentation en Eau Potable (AEP) dénommée « Grand Centre Maevatanàna ».
Avant la mise en place de ces infrastructures, seuls six fokotany sur les onze existants ont été desservis en eau par la JIRAMA. Actuellement, la totalité des habitants, soit 20.254 personnes peuvent en jouir en toute sérénité même durant la période chaude où l’approvisionnement en eau devient très problématique.
Le Président de République Hery Rajaonarimampianina a aussi pris des mesures d’accompagnement afin de pérenniser ces acquis. Il a en fait sensibilisé les habitants de Maevatanana à engager une politique de reboisement très forte pour préserver l’environnement en ayant constaté de visu les dégâts causés par les feux de brousse. « Pour que ces barrages puissent durer, nous devrons appliquer une politique forte de reboisement dont l’instruction à instituer dans les écoles, à partir du plus jeune âge » a-t-il expliqué lors de son discours. 

Givaudan, une des plus grandes industries de parfumerie à l’échelle mondiale a pris pied à Madagascar.


Cette entreprise s’est installée à Belambo, commune rurale dans le district de Toamasina II pour s’imprégner du parfum de l’Est malgache. Le Président de la République, Hery Rajaonarimampianina s’était déplacé à Belambo pour poser la première pierre du projet Natema qui est une usine de droit malagasy. Cette usine fera office de producteur d’ingrédients pour l’industrie des parfums et des arômes, tels que l’eugénol et ses dérivés.
Le développement du tissu industriel dans le pays fait partie de la volonté de l’Etat malagasy. C’est pour cette raison que la République se félicite de la mise en place de l’usine de la Natema. Selon le Chef de l’Etat, il s’agit de rendre effective la décentralisation économique. Le développement harmonieux et durable de toutes les régions de la Grande Ile est l’un des buts premiers de la Nation. Il devra donc travailler en concert avec les investisseurs pour atteindre cet objectif au plus vite et efficacement. Les travaux de construction du complexe industriel dureront 12 mois. Outre la création d’emplois, il y aura les impacts directs au niveau des producteurs de girofle, d’ailleurs la société entend aussi participer à la pérennité de la filière d’essence de feuille de girofle, et à la formation des différents acteurs de la filière.

Le Président Hery Rajaonarimampianina est fier de l’implantation de Givaudan dans le pays car cela va créer de la valeur ajoutée à nos matières premières. La société Natema produira en effet des centaines de tonnes d’eugénol et de ses dérivés. Elle deviendra la plus grande usine de production d’eugénol et de ses dérivés au niveau mondial d’ici quelques années. D’ailleurs, cette usine sera dotée d’équipements des plus performants dans le secteur au niveau de l’Afrique toute entière. Grâce à ce projet, la renommée de Madagascar au niveau international ne peut que monter en flèche.

lundi 21 septembre 2015

Un nouveau Centre Culturel Américain à Madagascar.


« Ensemble, nous avons créé l’un des plus grands centres culturels axés sur l’Amérique, dans toute la Région Afrique et l’Océan Indien et sûrement le premier dans ce type de partenariat. Je me réjouis de noter,  qu’à Madagascar, nous avons créé un modèle qui servira d’inspiration et sera reproduit à travers le monde ». Ce sont les mots de l’ambassadeur des Etats Unis Robert Yamate lors de l’inauguration du nouveau CCA à Tanjombato. Le Président de la République de Madagascar Hery Rajaonarimampianina a honoré de sa présence cette inauguration officielle qui a pour vocation d’aider les Malgaches à avoir une meilleure compréhension de la société américaine, son histoire, ses stratégies, sa culture et sa politique, tout en renforçant les liens d’amitié entre les Etats-Unis et Madagascar. Au moment de son discours à cette occasion, le Chef de l’Etat     a expliqué que ce centre est le symbole d’une bonne relation entre Madagascar et l’Amérique, « Pour les deux pays, l’implantation de ce centre va certainement favoriser davantage le partenariat et la promotion des valeurs communes. C’est un cadeau pour le peuple malgache, car cela va être un lieu de rencontre pour tout le monde, et un moyen pour atteindre l’ultime objectif commun pour les Malgaches. » a-t-il affirmé.
Ce centre culturel est d’une grande utilité pour les jeunes selon le locataire d’Iavoloha. « L’American Center a une importance particulière, vue la diversité des offres qu’il propose. C’est une institution modèle, non seulement pour Madagascar, mais aussi pour tous les pays voisins» a déclaré Hery Rajaonarimampianina. Il a rajouté également que connaissance de la langue est un atout en ce moment vu la place de la communication et sa prépondérance dans l’univers du travail voire même dans le domaine de la recherche. « L’American Center a une importance particulière, vue la diversité des offres qu’il propose. C’est une institution modèle, non seulement pour Madagascar, mais aussi pour tous les pays voisins» a expliqué le Numéro un de la Nation.
Le CCA est à la fois un centre d’étude mais c’est également une plateforme pour la promotion de la culture. La République malagasy a toujours placé l’éducation et le bien-être du peuple au premier rang dans son programme de développement pour le pays. Les responsables de l’American Center ont remarqué cette sollicitude de l’Etat en mentionnant que « la présence du Président Hery Rajaonarimampianina à cette inauguration confirme bien l’intérêt des dirigeants du pays dans la promotion de la culture et l’éducation entre les Etats-Unis et Madagascar. »

L’avenir de l’agriculture familiale appartient aux jeunes



"Nous croyons fortement en la capacité des organisations de jeunes de prendre leur élan pour construire, ensemble, les fondations d’une agriculture familiale pleine d’avenir".

Le lien entre agriculture et jeunesse est d’une importance évidente. Les pays aux populations les plus jeunes sont aussi ceux où l’activité agricole joue un rôle déterminant dans le développement. Ce constat est particulièrement vérifiable en Afrique subsaharienne, où l’agriculture emploie près de deux tiers de la population alors qu’une personne sur trois a entre 10 et 25 ans. Dans ce contexte, les institutions internationales et les gouvernements plaident logiquement pour une agriculture créatrice d’emplois et moteur de développement. Malgré leur bien-fondé, ces discours omettent souvent un problème majeur: dans beaucoup de pays, l’agriculture n’attire plus les jeunes. Sous-valorisée, l’activité agricole est trop souvent considérée comme un métier par défaut.

Face à ce constat, l’Année Internationale de l’Agriculture Familiale 2014 doit servir à valoriser le rôle des agriculteurs à tous les niveaux. A travers l’AIAF, AFDI (Agriculteurs Français et Développement International) défend des agricultrices et des agriculteurs qui sont des acteurs majeurs du développement territorial, qui ne se délocalisent pas et qui sont conscients de leurs responsabilités environnementales et alimentaires. L’enjeu est de traduire concrètement les valeurs en actes afin de rendre attirante la profession d’agriculteur.

Parallèlement à ce travail, il s’agit aussi d’entendre les revendications des plus jeunes qui souhaitent légitimement améliorer leurs conditions de travail en agriculture, en ayant accès à un revenu décent dans des territoires ruraux vivables. L’AIAF-2014 nous oblige à écouter leurs demandes et à y répondre. L’Année Internationale est un formidable moment pour nous réinterroger sur l’avenir de l’agriculture en mettant de côté les paradigmes préétablis et en intégrant la visions des femmes et des hommes qui feront l’agriculture de demain.

Valoriser le métier d’agriculteur et s’interroger sur l’avenir du modèle familial sont deux objectifs qui guident le travail commun AFDI et du syndicat Jeunes Agriculteurs en 2014.

En organisant le Sommet International des Jeunes Agriculteurs, le 4 septembre à Bordeaux, nos deux organisations ont souhaité créer un cadre favorable pour porter les revendications des jeunes agriculteurs familiaux au plus haut niveau, et nous croyons fortement en la capacité des organisations de jeunes présentes de prendre leur élan pour construire, ensemble, les fondations d’une agriculture familiale pleine d’avenir.



Rédigé par Laure Hamdi.
Directrice of AFDI.

Stop à la poliomyélite.


La République de Madagascar a lancé une lutte contre la poliomyélite en faisant la campagne FAV Polio IV. Le Président de la République Hery Rajaonarimampianina  a lui-même sollicité et sensibilisé les parents malagasy sur la nécessité de vacciner leurs enfants contre cette maladie qui touche encore de nombreuses personnes à Madagascar. Cette grande campagne a été enclenchée par le Chef de l’Etat à Tsihombe, dans la région de l’Androy car c’est dans cette zone que la polio fait le plus de ravage.  « Tous les enfants de zéro à 15 ans doivent-être vaccinés, d’autant plus que cela est gratuit » a déclaré le Président de la République en appelant à une vaste mobilisation nationale dans le but de mettre fin à une épidémie de poliomyélite qui constitue une menace pour tous les enfants du pays. L’objectif du FAV Polio IV est d’atteindre les 11,3 millions d’enfants de zéro à quinze ans des quatre coins de la Grande Île, même dans les endroits les plus reculés. Les 112 districts de Madagascar seront donc concernés par cette campagne. Pour atteindre les enfants ciblés  toutes les forces vives de la nation, tant au niveau central qu’au niveau décentralisé, ont collaboré afin d’éradiquer la poliomyélite à Madagascar. Les structures des différents départements ministériels, les autorités administratives, religieuses, traditionnelles, les opérateurs économiques, le secteur privé, la société civile se sont donné la main pour la bonne marche de cette campagne. L’Etat, l’OMS, l’UNICEF, l’USAID ont coordonné cette sensibilisation d’une envergure nationale. Comme la poliomyélite est une maladie généralement liée à l’insalubrité, Hery Rajaonarimampianina a abordé le problème de l’assainissement et de se mobiliser pour inciter au changement de mentalité et de comportements en matière d’hygiène. Eradiquer la défécation à l’air libre pourrait éliminer les facteurs de propagation des maladies a-t-il expliqué à l’occasion du lancement de ce programme de vaccination. 

vendredi 18 septembre 2015

Tsiroanomandidy sera dotée d’une centrale hydroélectrique


La ville cosmopolite de Tsiroanomandidy fait l’objet d’une grande avancé en matière d’électrification. Une centrale hydroélectrique sera installée aux environs de cette localité pour desservir en électricité la Jirama de la ville de Tsiroanomandidy et ses environs. Cette centrale est une grande première pour la région du Bongolava, voire même du Moyen ouest malgache tout entier. C’est un exemple à suivre pour toutes les autres régions de la Grande Ile. « Cela permettra de diminuer les dépenses en gasoil d’un montant faramineux, mais aussi de créer d’autres infrastructures socio-économiques plus importantes » a fait remarqué le Président de la République Hery Rajaonarimampianina lors de son discours au moment de la pose de la première pierre pour lancer le  chantier du site d’Ampitabepoaky. La construction de cette infrastructure est tellement énorme que des perturbations seront à envisager. C’est dans cette vision que des mesures ont déjà été prises. « Dans l’attente de la durée de la réalisation de cette infrastructure, un groupe sera installé la semaine prochaine à Tsiroanomandidy pour éviter le délestage » a annoncé le Président.
Pour la réalisation de ce grand projet, l’Etat a priorisé le Partenariat Public-Privé. La République, l’ADER ou l’Agence de Développement de l’Electrification Rurale et la concessionnaire Henry Fraise Fils et Compagnie travaillent main dans la main dans ce projet d’envergure. Il est à noter aussi que l’Etat a choisi l’énergie renouvelable pour la protection de l’environnement et aussi pour un développement durable. « Cela permettra de diminuer les dépenses en gasoil d’un montant faramineux, mais aussi de créer d’autres infrastructures socio-économiques plus importantes » a expliqué le Chef de l’Etat.

La protection de l’environnement va de pair avec l’énergie renouvelable. Avec la mise en place d’une infrastructure comme celle-ci, la contribution à la préservation de l’environnement est effective. D’ailleurs, tous les citoyens devraient s’impliquer dans cette sauvegarde de la nature. C’est une des recommandations du Président lors de son passage à Ampitabepoaky, l’emplacement du site de la future centrale. « Nous sommes tous responsables, arrêtez les feux qui nuisent à notre environnement et lançons la politique de reboisement » a-t-il mentionné pour sensibiliser ces concitoyens. 

Entretenir un jardin, c'est du boulot ! Découvrez toutes nos astuces pour savoir vous y prendre sans stress et faire de votre jardin un lieu qui vous ressemble.


Jardinez souvent et peu de temps
Sinon cela deviendra plus une corvée qu'un plaisir.

Planifiez
Notez toutes les tâches de l'année sur un calendrier, ce sera plus simple pour vous organiser.

Adaptez vos soins aux plantes et aux saisons
Plantez les arbres en janvier. Coupez les tiges sèches seulement à la fin de l'hiver. Ne taillez pas vos haies entre mars et août quand les oiseaux nidifient. Semez les géraniums en mars, les capucines en avril, les tournesols en mai, les pâquerettes en juin. Taillez les arbustes en juin, tuteurer les plantes à haute tige en juillet, sarclez les massifs fleuris en août. Bouturez les rosiers en septembre, ramassez les feuilles mortes en octobre, élaguez les arbres en novembre et protégez les arbustes et les rosiers en les buttant avec de la tourbe en décembre.

Laissez faire la nature
Laissez la faune sauvage se charger de l'équilibre biologique, cela vous évitera d'avoir recours à des produits chimiques dangereux. Acceptez les imprévus, cela fait partie de la vie d'un jardin. Plus vous entretiendrez naturellement votre jardin, moins celui-ci aura besoin d'entretien.

N'en faites pas trop
N'astiquez pas trop votre jardin. Arrosez le moins possible. Ne retournez pas trop le sol mais mettez du compost en surface et paillez le sol pour prendre soin de la faune du sol. Le paillage permet également de réduire la fréquence du désherbage, tout comme l'astuce de planter dense. Choisissez de planter des plantes robustes, moins gourmandes en eau, et des vivaces fleurissant votre jardin, car elles sont faciles à entretenir.

Source: deco.plurielles.fr/

mercredi 16 septembre 2015

L’Education nationale est la priorité des priorités pour l'Etat Malagasy


L’enseignement est la base de tout développement. La priorisation de l’amélioration de  l’éducation nationale a donc été nécessaire. C’est pour cette raison que l’Etat a cherché par tous les moyens à faire évoluer l’enseignement à tous les niveaux dans le pays. Depuis des années, les malagasy ont souffert des maux de l’illettrisme.  D’ailleurs, les chiffres publiés tout récemment sur le  taux d’analphabétisme des jeunes sont encore très inquiétants. Plus du tiers de la jeunesse du pays est analphabète, soit près de 30 pour cent de jeunes de plus de 15 ans. Le Ministère de l’Education Nationale, représenté par son ministre Paul Rabary a déclaré qu’avec l’aide des organismes internationaux à l’instar de l’Unesco, Madagascar est capable de réduire ce taux de 5 pour cent.
Le Président de la République Hery Rajaonarimampianina a également souligné l’importance de l’enseignement dans le développement et dans la vie de tous les jours. «Qu’importe l’activité que vous exercez que ce soit l’agriculture ou l’élevage, vous avez toujours besoin de savoir lire, écrire et compter » a-t-il déclaré lors de son déplacement au stade municipal de Mahitsy pour de la célébration de la Journée Internationale de l’Alphabétisation. Il a ajouté également que l’éducation est un droit et elle est primordiale pour la bonne marche du développement. « Savoir lire, écrire et compter est un droit fondamental aussi bien pour les enfants, les jeunes et les adultes et c’est indispensable pour pouvoir bâtir une société durable ».

Toujours dans le cadre de cette amélioration du niveau d’éducation dans la Grande Ile, le régime de Hery Rajaonarimampianina a mis sur pied un centre d’alphabétisation dans la localité de Mahitsy suite à une demande des habitants de cette bourgade. Des centres comme celui de Mahitsy verront le jour à travers toute l’ile, c’est une promesse du Président de République. 

Programme PROSPERER-Sofia : Une réussite.


L’appui du Ministère de l’Agriculture à travers le Programme PROSPERER-Sofia  a entrainé une évolution significative de revenus et des conditions de vies de William, un apiculteur de la Commune de Tsimalaho, District de  Befandriana, Région Sofia.
1Avec les appuis financiers, en équipement, en formation, technique, socio-organisationnel, en information et en commercialisation  du PROSPERER, William est devenu un leader en  apiculture intégré avec des techniques de productions aux standards internationaux. Auparavant,  il pratiquait l’élevage traditionnel et les 30 kg de miel obtenus lui servaient  pour la consommation personnelle de sa famille et les surplus sont vendus sur les marchés locaux entre 3000 et 3200 Ariary le kg. De ce fait, les quantités produites ne permettaient pas de dégager suffisamment de revenus. Mais après les appuis du Min Agri par le biais du Programme PROSPERER,  la production de miel de palissandre de William et des membres de  son association FIkambanan’ny MPIompy TAntely Andranovo dont il en est le Président, est conforme aux normes d’hygiène et de production en vigueur. En effet, la production de miel de  William atteint actuellement dans les 120kg par récolte (récolte : deux fois /an) à 10.000 Ariary le kilo.  Ainsi, l’apiculture est devenue une des activités principales de William après la culture du riz. D’ailleurs, dans ce domaine, il y a eu un grand changement puisqu’ il investit  l’argent de la vente du miel dans la culture du riz. Suite à cela, sa production de 1,8Tonnes sur un terrain de 2,5 Ha a augmenté de 3,75 Tonnes après l’application de techniques culturales améliorées enseignés par son voisin. Il stocke même les surplus de son  riz au magasin de stockage d’un micro-finance afin de pouvoir emprunter de l’argent en cas de besoin ou le vendre  au moment où le prix du riz flambe.
Notons que sur les 3 000 à 4 000 tonnes par an de miel à Madagascar, 50% de la production viennent du Nord-ouest d’après les données de la Fédération nationale des apiculteurs malagasy (FENAM). C’est la   1ère région productrice de miel dans le pays.

Source : SI/SG

mardi 15 septembre 2015

La réfection des infrastructures routières de la Ville des Mille est en cours.


C’est une bonne nouvelle pour la capitale car on en a assez des embouteillages monstres et du mauvais état des chaussées alors qu’on est en ville, une capitale qui plus est. Cela embellira très certainement l’image d’Antananarivo sans compter l’amélioration de la fluidité de la circulation. Cette réhabilitation fait partie des travaux d’urgence instaurés par la Présidence de la République de Madagascar. Ce projet est d’une grande envergure car il consiste à mettre en place une route à quatre voies. Pour obtenir les voies supplémentaires, 12 mètres de plus seront ajoutés à la largeur de la chaussée. Ce qui engendrera de nombreux chamboulements par rapport l’aménagement des constructions aux niveaux des axes à réhabiliter mais il est certain qu’aucune habitation ne sera touchée par cette construction énorme. Ce seront notamment les maisonnettes en bois qui seront concernées par un alignement tout comme les constructions non conformes.
Les études préliminaires ont déjà été faites par les techniciens et les axes concernés par cette amélioration sont des sections de routes les plus saturées par les embouteillages. C’est le cas de la portion de route entre Ankorondrano au niveau de l’entreprise Henri Fraise&Fils et Besarety aux alentours de l’hôtel-restaurant La Rotonde. La route au niveau de Soarano en allant vers le CEG Antanimena en passant par Magro bénéficiera également de cette rénovation. Il est à noter que les travaux de réhabilitation dureront trois bons mois et pour éviter toute perturbation supplémentaire de la circulation dans le centre-ville, les travaux se feront essentiellement la nuit.

La rénovation des infrastructures routières fait partie des grands projets présidentiels. Le Président Hery Rajaonarimampianina a lancé un grand défit en voulant mettre fin aux problèmes de saturation de la circulation dans la ville d’Antananarivo. Et ce projet ne s’arrêtera pas là car d’autres axes routiers seront bientôt rénovés, notamment du côté d’Analamahitsy et de ses environs.

Filière Litchi : Amélioration de la qualité pour l’accès au marché dans les régions Atsinanana et Analanjirofo.


Un atelier de formation s’est tenu à l’ESPACE MiouMiou Toamasina du 08 au 11 Septembre 2015. Le but est de faciliter l’accès au marché du litchi des petits producteurs de Madagascar et d’améliorer la vie des producteurs en considérant l’aspect genre. 50 producteurs participent à cette session de formation.
En effet, seule la production de litchi dans les régions d’Analanjirofo et Atsinanana pourrait être exportée sur le marché extérieur à cause du port de Tamatave. Malheureusement la plupart de la production provient des petits producteurs alors que leurs arbres sont déjà anciens. Donc, cette formation aide les producteurs à prendre soin de leurs vergers, à répondre aux normes sanitaires et phytosanitaires internationales et aussi à trouver de nouveaux partenaires commerciaux.
C’est alors un moyen de renforcer les capacités de producteurs de litchi à petite échelle. Notons qu’ils sont sélectionnés parmi les organisations paysannes (coopérative) et appuyés par l’équipe technique du COMESA (Common Market for Eastern and Southern Africa).


Source : Actualités Minagri    

lundi 14 septembre 2015

Les visites diplomatiques s'enchainent à Iavoloha.


Le Président de la République Hery Rajaonarimampianina a récemment reçu au Palais d’Iavoloha son Eminence, le Nonce Apostolique, Monseigneur Paolo Gualtier. Cet ambassadeur du Vativan a présenté ses lettres de créances auprès de l’Etat Malagasy. Le représentant du Saint-Siège a également évoqué les bonnes relations entre Rome et Madagascar. Après cette rencontre avec le numéro un de la République, il a fait une déclaration prometteuse à la presse. « L’année prochaine, nous allons célébrer les 50 années des relations diplomatiques à travers plusieurs festivités. Mes priorités sont, d’abord, travailler avec les évêques dont l’objectif est de motiver les jeunes dans les églises, puis l’évangélisation à la découverte du Christ » a-t-il annoncé.
Après cette visite du Nonce Apostolique, Iavoloha a aussi été l’hôte du nouvel Ambassadeur de l’Ile Maurice, Son Excellence Monsieur Goburdhun Datakarran. Ce dernier a présenté ses lettres de créance tout en parlant des futures coopérations entre les deux nations. Les projets les plus importants en vue touchent surtout l’agriculture, plus précisément la riziculture. En effet, grâce à une entente entre Maurice et la Grande Ile, Madagascar pourrait devenir le grenier à riz de l’Océan Indien. Ces projets seront mis sur pied dans très peu de temps.

Son Excellence Madame Véronique Vouland-Aneini, le nouvel ambassadeur de France à Madagascar a également été l’invitée du Chef de l’Etat. Durant cette entrevue ce représentant de la République française a conforté les relations diplomatiques et les coopérations entre les deux Etats. « La France a augmenté son volume de coopération suite au retour de la stabilité de la légalité à Madagascar, et, dans les prochains jours, une aide budgétaire de 10 millions d’euros sera décaissée, faisant suite à une première tranche d’une totalité de 40 millions d’euros » a-t-elle indiqué aux journalistes présents sur les lieux après l’entrevue avec Hery Rajaonarimampianina.